Après douze parties nulles à la cadence classique, Magnus Carlsen et Fabiano Caruana se sont départagés en parties rapides lors du match pour le titre mondial. Le champion en titre s'est alors imposé très nettement, en remportant trois parties d'affilée.

Cette victoire du Norvégien a été relayée par de nombreux médias français, dont Le Monde. La physionomie du match, avec une succession de parties nulles, a suscité de nombreuses réflexions. Citons l'analyse de Maxime Vachier-Lagrave sur son site internet, celle de Laurent Fressinet qui travaille avec le champion du Monde, ou encore, dans une perspective plus large, l'article publié dans les Échos, qui souligne que le jeu d'échecs parvient à se renouveler malgré la domination des ordinateurs : "Carlsen a gagné, après trois parties rapides, qui sont un peu l'équivalent des prolongations au football, d'une manière très humaine. Et nous devrions tous fêter ça !"

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Photo Chessbase : Ronde 11, Magnus Carlsen et Fabiano Caruana, salués par Sergey Karjakin et Bachar Kouatly, président délégué de la FIDE et Président de la FFE.

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